Tableau sur les 35 États participant à la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) qui se déroule en trois phases du 3 juillet 1973 au 1er août 1975 à Helsinki et à Genève.

Tableau indiquant les États participants de l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), les dates de leur admission dans l'organisation et les dates auxquelles ils ont signé l'Acte final de Helsinki et la Charte de Paris pour une nouvelle Europe.

Photo prise lors du Forum économique de l'OSCE à Prague le 31 mai 2004, montrant les drapeaux des 55 pays membres de l'OSCE.

Évolution du barème de répartition des contributions financières des États participant à la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE)/l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE).

Dans une lettre adressée le 18 juin 1991 à Hans-Dietrich Genscher, ministre allemand des Affaires étrangères et président en exercice du Conseil de la CSCE, Muhamet Kapllani, ministre albanais des Affaires étrangères, accepte tous les engagements et responsabilités énoncés dans les textes finals de la CSCE et invite une mission de rapporteurs à visiter son pays afin de vérifier l’état de leur mise en œuvre.

Lors de sa réunion de Stockholm du 14 décembre 1992, le Conseil de la CSCE se prononce en faveur d’une expansion des activités de la CSCE et des visites sur le territoire des États participants nouvellement admis. En outre, il décide d’admettre la République tchèque et la République slovaque en tant qu’États participants à partir du 1er janvier 1993 après réception des lettres rédigées conformément au modèle annexé.

Le 10 juillet 1992, la conférence d’examen d’Helsinki adopte un programme d’appui coordonné à l’intention des États participants qui ont été admis à la CSCE depuis 1991, dont notamment les anciennes républiques soviétiques d’Asie centrale et du Caucase.

Dans un article paru en 1998 dans la publication trimestrielle Helsinki Monitor, Valery Perry, doctorante à l’université George Mason en Virginie (États-Unis), analyse les pour et les contre de l’une des décisions les plus controversées adoptées par l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) depuis sa création: la suspension de la République fédérale de Yougoslavie (Serbie-et-Monténégro) en 1992.

En 2000, Walter Kemp, éditeur de la publication trimestrielle Helsinki Monitor, plaide pour des critères plus clairs et cohérents d'appartenance à l'Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE).

Le 19 octobre 2006, les ambassadeurs des cinq pays asiatiques partenaires de l'OSCE posent devant le Palais de la Hofburg à Vienne. De gauche à droite: Kim Sung-hwan (Corée du Sud), Zia Uddin Nezam (Afghanistan), Itaru Umezu (Japon), Luvsandagva Enkhtaivan (Mongolie) et Adisak Panupong (Thaïlande).

Le 12 mai 1971, le Comité politique des Communautés européennes et le groupe de travail qu’il a constitué à cet effet rendent un rapport sur les problèmes que poserait la convocation d’une Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) et qui relèvent de la sphère d’intérêt des Communautés.

Le 14 mai 1971, à l’occasion de la conférence des ministres des Affaires étrangères des États membres des Communautés européennes qui se tient à Paris, Franco Maria Malfatti, président de la Commission, prononce un discours sur l’opportunité d’inclure le chapitre de la coopération économique dans la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe (CSCE) et sur le problème de la reconnaissance de la Communauté économique européenne (CEE) par l’URSS et les pays communistes.

Le 17 janvier 1975, le sous-comité et le groupe ad hoc chargés de la CSCE au sein du Comité politique des Communautés européennes rendent un rapport qui définit le point de vue commun des neuf États membres des Communautés européennes lors de la deuxième phase de la Conférence sur la sécurité et la coopération en Europe qui se tient à Genève depuis le 18 septembre 1973.