Le 22 janvier 1972, Patrick Hillery, ministre irlandais des Affaires étrangères (à g.) et Jack Lynch, Premier ministre (à dr.), signent à Bruxelles le traité d'adhésion de l'Irlande aux Communautés européennes.
Le 22 janvier 1972, Walter Hallstein, Joseph Bech, Paul-Henri Spaak, Jean Monnet, Jean-Charles Snoy et d'Oppuers et Jean Duvieusart, notamment, assistent à la cérémonie de signature du traité d'adhésion du Danemark, de l'Irlande, de la Norvège et du Royaume-Uni aux Communautés européennes.
Le 1er janvier 1973, Sean Padraig Kennan (à dr.), représentant permanent de la République d'Irlande près les Communautés européennes, remet sa lettre de créance à André Dubois, directeur général des relations extérieures et du développement au secrétariat général du Conseil des Communautés européennes.
Au début des années 1970, le Danemark, la Grande-Bretagne et l'Irlande se tournent résolument vers la Communauté économique européenne (CEE). Les trois pays candidats à l'adhésion à la Communauté naviguent ensemble "Vers de nouveaux rivages".
Le 1er août 1961, Sean Lemass, Premier ministre d'Irlande, annonce au Parlement national le dépôt par son gouvernement de la première demande d'adhésion de l'Irlande aux Communautés européennes.
Le 23 octobre 1962, Emilio Colombo, président en exercice du Conseil de ministres des Communautés européennes, répond positivement à la demande du gouvernement de Dublin d'entamer au plus vite des négociations pour l'adhésion de l'Irlande aux Communautés européennes.
Le 15 novembre 1963, la Commission européenne dresse un compte rendu de la position adoptée par l'Irlande dans le cadre des négociations pour son adhésion à la Communauté économique européenne (CEE).
Le 11 mai 1967, Jack Lynch, Premier ministre irlandais, commente devant le Parlement national, le Dáil, la décision de réitérer la demande d'adhésion de l'Irlande aux Communautés européennes.
Le 2 juillet 1967, la Commission européenne décrit les difficultés politiques et économiques posées par l'adhésion de l'Irlande à la Communauté économique européenne (CEE).
Le 25 juillet 1967, les députés irlandais débattent au sein du Dáil sur les conditions d'adhésion de l'Irlande à la Communauté économique européenne (CEE).
Le 12 novembre 1968, la Représentation de l'Irlande auprès des Communautés européennes remet à la Commission européenne un aide-mémoire exposant la position du gouvernement irlandais face au problème de l'exportation des bovins et de la viande bovine vers les Six.
Le 2 avril 1968, répondant aux demandes d'adhésion britannique, irlandaise, danoise et norvégienne à la Communauté économique européenne (CEE), la Commission européenne exprime son avis sur les modalités pratiques d'un futur élargissement de la CEE.
Le 19 décembre 1969, la Direction générale des relations extérieures de la Commission européenne adresse à Gaetano Martino, commissaire en charge des relations extérieures, un résumé des résultats de la réunion de travail, deux jours plus tôt à Bruxelles, entre experts agricoles de la Commission et de l'Irlande.
Publié en avril 1970 par le gouvernement irlandais, le Livre blanc consacré à la question de l'adhésion de l'Irlande à la Communauté économique européenne (CEE) en analyse les possibles conséquences économiques, politiques et sociales.
Le 23 juin 1970, les députés irlandais examinent le Livre blanc du gouvernement de Dublin sur l'adhésion de l'Irlande à la Communauté économique européenne (CEE) et débattent des possibles conséquences économiques, politiques et sociales de cette adhésion.
Le 19 janvier 1972, la Commission européenne émet un avis favorable sur les demandes d'adhésion aux Communautés européennes du Royaume de Danemark, de l'Irlande, du Royaume de Norvège et du Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande du Nord.
Le 22 janvier 1972, le Conseil des Communautés européennes décide d'accepter les demandes d'admission du Danemark, de l'Irlande, de la Norvège et du Royaume-Uni à la Communauté économique européenne (CEE) et à la Communauté européenne de l'énergie atomique (CEEA).
Le 22 janvier 1972, le Conseil des Communautés européennes décide que le Danemark, l'Irlande, la Norvège et le Royaume-Uni peuvent devenir membres de la Communauté européenne du charbon et de l'acier (CECA) et fixe les conditions de leur adhésion.
Dans un rapport officiel publié en janvier 1972 et présenté devant les deux Chambres du Parlement national, le gouvernement irlandais insiste sur l'importance de l'adhésion de l'Irlande aux Communautés européennes.
Le 21 mars 1972, Jack Lynch, Premier ministre irlandais, annonce devant le Dáil la tenue prochaine d'un référendum national sur la question de l'adhésion de l'Irlande à la Communauté économique européenne (CEE).
Le 21 mars 1972, Liam Cosgrave, leader du Parti libéral irlandais Fine Gael, rappelle les enjeux du futur référendum national sur l'adhésion de l'Irlande à la Communauté économique européenne (CEE).
Le 18 janvier 1962, trois jours avant le début à Bruxelles des négociations d'adhésion de l'Irlande aux Communautés européennes, Sean Lemass, Premier ministre irlandais, réitère devant des membres des gouvernements des Six la volonté de son pays d'intégrer l'Europe communautaire.
En 1972, à la veille du référendum organisé le 10 mai en Irlande sur l'adhésion du pays aux Communautés européennes, l'Association des agriculteurs irlandais adresse à ses adhérents une étude détaillée sur les possibles avantages et désavantages de la participation du pays au système communautaire.
En 1972, à la veille de l'entrée de l'Irlande dans les Communautés européennes, le parti irlandais Fianna Fail publie un guide répondant aux principales questions sur la participation du pays à l'Europe communautaire.
En 1972, à la veille du référendum organisé le 10 mai en Irlande sur l'adhésion du pays aux Communautés européennes, le parti irlandais Fianna Fail publie une brochure dans laquelle il développe ses argument en faveur de l'adhésion.
Suite aux délibérations de la Commission permanente du Traité de Bruxelles, son secrétaire général prépare un projet d'invitation à participer à la conférence préparatoire du Conseil de l'Europe, à adresser aux gouvernements du Danemark, de l'Irlande, de l'Italie, de la Norvège et de la Suède.
Suite au Sommet de Paris des 19-21 octobre 1972 et à l'entrée en vigueur du Traité d'adhésion de la Grande-Bretagne, de l'Irlande et du Danemark aux Communautés européennes le 1er janvier 1973, François-Xavier Ortoli, président de la Commission, prononce un discours à l'occasion de la première session du Conseil de la Communauté élargie, le 15 janvier 1973 à Bruxelles. L'orateur souligne l'immense espoir que portent les mots "Union européenne" pour l'avenir des peuples de l'Europe.
En octobre 1969, le Comité des représentants permanents (Coreper) des pays membres de la Communauté économique européenne (CEE) s'exprime sur l'avis rendu par la Commission européenne sur les demandes d'adhésion du Danemark, de l'Irlande, de la Norvège et du Royaume-Uni au Marché commun européen.
Le 27 juillet 1967, rencontrant à Bruxelles Jean Rey, président de la Commission européenne, dans le cadre des négociations d'adhésion de l'Irlande aux Communautés européennes, John Lynch, Premier ministre irlandais, prononce une déclaration dans laquelle il souligne la vocation européenne de son gouvernement.
Le 13 décembre 1978, les députés irlandais, réunis au sein du Dáil, débattent sur la question de la participation de l'Irlande au Système monétaire européen (SME).
Opportunity or threat? Ireland and the EC, 1973-87
Suite au Sommet de Paris des 19-21 octobre 1972 et à l'entrée en vigueur du Traité d'adhésion de la Grande-Bretagne, de l'Irlande et du Danemark aux Communautés européennes le 1er janvier 1973, François-Xavier Ortoli, président de la Commission, prononce un discours à l'occasion de la première session du Conseil de la Communauté élargie, le 15 janvier 1973 à Bruxelles. L'orateur souligne l'immense espoir que portent les mots "Union européenne" pour l'avenir des peuples de l'Europe.
Opportunity or threat? Ireland and the EC, 1973-87
Le 12 juin 1975, Stephanos Stathatos, ambassadeur de Grèce à Bruxelles, remet à Brendan Dillon, représentant permanent irlandais auprès des Communautés européennes, la demande officielle d'adhésion de la Grèce aux Communautés européennes dont l'Irlande assure la présidence tournante.
Lors de la conférence de presse qui clôt le sommet de Fontainebleau des 25 et 26 juin 1984, François Mitterrand, président de la République française, exhibe le premier passeport européen. Celui-ci sera adopté dès 1985 en Italie, en France, au Danemark, en Irlande et au Luxembourg.
Le 24 octobre 1984, Garrett FitzGerald (à dr.), Premier ministre irlandais et président en exercice du Conseil des Communautés européennes, Mário Soares (à g.), Premier ministre portugais, et Lorenzo Natali, vice-président de la Commission européenne en charge de l'élargissement, signent à Dublin une déclaration commune dans laquelle ils manifestent leur volonté de réaliser l'adhésion du Portugal aux Communautés européennes au 1er janvier 1986.