"Nous sommes tous d'accord sur le fait que l'Europe doit enfin marcher comme un seul homme !" Le 15 août 1960, Fritz Behrendt montre dans le quotidien néerlandais Algemeen Handelsblad les ambiguités de Harold Macmillan, de Konrad Adenauer et du général de Gaulle dans l'idée qu'ils se font de l'unité européenne et du leadership de l'Europe communautaire.
"Mauvais en amour: France". En février 1962, selon le caricaturiste néerlandais Opland, l'attitude du général de Gaulle, représenté en Cyrano de Bergerac, en matière de politique étrangère s'apparente à une tragédie romantique.
Dans cette interview, le comte Richard Coudenhove-Kalergi, fondateur en 1924 de l'Union paneuropéenne, s'exprime sur l'attitude du général de Gaulle à l'égard de la construction européenne.
Le 28 janvier 1963, la réponse française à la demande d'adhésion du Royaume-Uni aux Communautés européennes ne laisse planer aucun doute quant à la position du général de Gaulle.
"La barrière". Le 18 mai 1962, réagissant à la conférence de presse du général de Gaulle, président de la République française, le caricaturiste allemand Hartung fustige les conceptions européennes gaullistes favorables à une Europe des États et hostile à toute forme d'intégration supranationale.